Synthèse de presse

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    Le président du GIFAS Guillaume Faury adresse ses vœux pour 2022, « année de conquête » pour l'aéronautique française
    Après une année 2021 sous le signe de la résilience, 2022 s'annonce comme une année de « conquête » pour l'industrie aéronautique française. C'est le souhait exprimé par Guillaume Faury, le président du GIFAS et président exécutif du groupe Airbus, à l'occasion de la cérémonie des voeux du GIFAS le 6 janvier. La remontée des cadences de production d'Airbus, amorcée au second semestre de 2021 , devrait se poursuivre et peut-être même s'amplifier en 2022, avec un retour progressif à 60 A320 par mois dès cette année et un objectif de 65 moyen-courriers par mois à l'été 2023. Le CEO d’Airbus espère parvenir à un accord avec ses principaux sous-traitants dans le courant de l'année, pour porter la production à 70, voire 75 A320 par mois en 2024-2025. Au second semestre de 2021, le secteur s'était remis à recruter, avec 6 000 à 7 000 embauches en fin d'année. « En 2022, je ne serai pas surpris qu'on dépasse les 10 000 embauches », a estimé Guillaume Faury. Selon Christophe Cador, représentant des PME au GIFAS, les 400 entreprises de la filière prévoient près de 15 000 embauches en 2022, avec un plan pour renforcer l'attractivité de la filière et attirer des jeunes. « Nous avons des besoins d'emplois dans tous les domaines, confirme Martin Sion, président de Safran Electronics & Defense et représentant des équipementiers au GIFAS. Nous cherchons aussi bien des peintres que des ingénieurs. Nous recrutons même des personnes dont la formation initiale n'est pas l'aéronautique et que nous allons nous-même former ».

    Ensemble de la presse du 6 janvier

Emploi
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    La filière aéronautique prévoit jusqu’à 15 000 embauches en 2022
    La filière aéronautique française reprend le chemin de la croissance, d’après le président du GIFAS, Guillaume Faury. Les entreprises du secteur devraient embaucher en France entre 10 000 et 15 00 personnes en 2022, alors que Safran et Airbus Atlantic ont déjà fait savoir qu’ils comptaient recruter en 2022. Le dirigeant a souligné le rôle décisif des aides de l’Etat et la résilience des acteurs de la filière, qui ont bien tenu pendant la crise, aidés par un début de reprise de l’aviation commerciale en 2021. Les commandes engrangées par Airbus en 2021 confortent en outre les ambitions du groupe d’aller encore au-delà : « Le travail sur la faisabilité de dépasser le seuil de 65 avions par mois a commencé l’année dernière, a précisé Guillaume Faury. Pour avoir un scénario suffisamment déterminé à l’avance sur la période 2024-2025, il serait bien qu’au milieu de l’année 2022, nous ayons conclu ces études pour être en mesure de donner des informations claires à nos fournisseurs ». Mais la filière pourrait bien être freinée dans son nouvel élan par les tensions sur le marché des matières premières, mais aussi à cause des difficultés à recruter. « Le premier enjeu des PME aujourd’hui, c’est le recrutement, a appuyé Christophe Cador, président du Comité Aéro-PME au sein du GIFAS. Tout l’enjeu est de rester attractif auprès des jeunes et de réamorcer la pompe après les baisses d’effectifs (…) La filière est prête à former des profils qui ne seraient pas forcément aujourd’hui tournés vers l’aéronautique. ». Un objectif qui vise en particulier les femmes, qui ne représentent encore que 30% des embauches au sein de la filière.

    L’Usine Nouvelle et Le Figaro du 6 janvier

Espace
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    Arianespace envisage jusqu’à 17 lancements en 2022
    A l’occasion des traditionnels vœux à la presse, Stéphane Israël, le président exécutif d’Arianespace, a dressé le bilan de sa société en 2021, et présenté les perspectives d’une année 2022 qui s’annonce charnière à plusieurs égards. L’an passé, ce sont 15 missions qui ont été menées avec succès (soit 5 de plus qu’en 2020), la plus emblématique étant celle qui a vu le lancement du télescope spatial James Webb de la NASA. Sur les 15 lancements effectués en 2021, 11,5 étaient strictement commerciaux, ce qui permet à Arianespace de conserver la tête sur ce marché. En termes de commandes, Arianespace a décroché le lancement de 22 satellites supplémentaires, portant à plus de 1,25 Md€ son chiffre d’affaires, en progression de 30% par rapport à 2020. Pour la suite, Stéphane Israël pressent à moyen terme l’arrivée d’ambitieux projets de constellations, même si le marché des traditionnels satellites géostationnaires de télécommunications commerciaux est en berne. Pour 2022, 17 lancements sont envisagés. Mais ce qui devrait retenir l’attention du grand public en 2022 est la perspective des vols inauguraux des lanceurs Vega C et Ariane 6, dont les étages inférieur et supérieur sont actuellement en route vers la Guyane. « Nous avons hâte d’engager 2022, avec une activité opérationnelle très soutenue et l’arrivée de Vega C et d’Ariane 6, déclare Stéphane Israël. Arianespace n’a qu’un seul objectif : le succès de ses clients ! ».

    Air & Cosmos du 6 janvier
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    Vers un premier lancement d’Ariane 6 en 2022
    Si tout se déroule correctement, Ariane 6 pourrait effectuer son premier vol avant la fin de cette année. Un modèle de test quasi identique à la fusée finale devrait arriver vers le 20 janvier. Il va permettre de répéter dans les semaines à venir toutes les opérations préparatoires à un lancement. « C’est la rencontre du lanceur avec les installations du CNES à Kourou », résume François Deneu, directeur du programme Ariane 6 chez ArianeGroup en charge de la construction de la fusée. L’objectif est de diviser par trois la durée entre l’arrivée du lanceur par bateau et le décollage, soit deux semaines contre six actuellement. « Nous visons un premier essai à feu court de quelques secondes début mai, puis un long fin mai-début juin qui doit durer dix minutes, soit l’équivalent d’un vol complet sans quitter le sol! » explique François Deneu. ArianeGroup espère démarrer la campagne du premier modèle de vol dans la foulée, pour un lancement au début du second semestre. Les industriels attendront néanmoins le retour d’expérience des essais statiques avant d’envoyer le lanceur à Kourou. « Contrairement à Ariane 5, où ils étaient retirés quelques secondes avant le décollage, ils ne s’écarteront cette fois qu’au moment de l’allumage des boosters », explique le responsable du CNES. Au total le développement du nouveau lanceur aura coûté 3,8 Md€, dont 400 M€ investis par les industriels. L’objectif est ensuite de réaliser 3 lancements en 2023, puis de monter en régime pour atteindre une production annuelle de 9 à 12 lanceurs, condition sine qua non pour atteindre l’objectif de réduction des coûts de 40% par rapport à Ariane 5. À ce jour, Arianespace qui commercialise le lanceur, compte 9 commandes, dont la moitié sont « institutionnelles », c’est-à-dire provenant de l’ESA et de l’Union européenne.

    Le Figaro du 5 janvier
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    L’Europe spatiale face au risque de décrochage technologique vis à vis de la Chine et des États-Unis
    2022 sera une année spatiale. Et pour l’Europe plus que jamais. A l’occasion de ses vœux à la presse présentés le 6 janvier, Guillaume Faury a tenu à réaffirmer l’importance du secteur spatial pour la filière. Il a rappelé les deux grands rendez-vous à venir dans ce domaine : l’Europe devra réussir le premier lancement d’Ariane 6, le lanceur conçu pour contrer l’Américain SpaceX grâce à des coûts de production divisés par deux. Et sur le plan stratégique, les ministres européens chargés des activités spatiales se réuniront les 22 et 23 novembre 2022 à Paris afin de s’accorder sur une feuille de route stratégique et un budget correspondant. Pour Guillaume Faury, ce rendez-vous est crucial. L’Europe spatiale doit prendre des mesures fortes face au dynamisme des autres grandes puissances spatiales, au risque de se voir déclasser sur le plan technologique. La solution passe par un budget spatial en augmentation. « On appelle à la fois de nos vœux l’augmentation des budgets mais aussi de bien les cibler et bien les investir pour que les résultats soient les plus élevés possibles (…) si l’on veut rester dans la course avec les autres grandes puissances, il faudrait investir beaucoup plus fortement dans la dimension spatiale », a exhorté Guillaume Faury. Le dirigeant a souligné l’importance du secteur spatial pour les citoyens, les entreprises et les nations : selon lui, il y a « une sous-estimation par le citoyen de sa dépendance à l’espace. Toute la communication, toute la connectivité est faite dans une très grande mesure à travers les satellites. Chaque jour, le citoyen utilise en moyenne 40 satellites ».

    L’Usine Nouvelle du 6 janvier

Défense
  • Défense
    Les inquiétudes persistent sur la taxonomie européenne réservée au secteur de la défense
    Le président du GIFAS Guillaume Faury s'inquiète des réticences du secteur bancaire à financer le secteur de la défense, appelant les pouvoirs publics français à exercer « une influence sur les critères de sélection des bons investissements (…) un message positif et une direction claire des autorités en général sur tout ce qui est ESG (Environnement, Social, Gouvernance) et taxonomie ». Bruxelles travaille sur la mise en place de nouveaux critères de label écologique de l'UE pour les produits financiers. Un projet de label dont seraient pour le moment exclues les industries de défense européennes. « Nous voulons nous assurer que la défense n'aura pas non seulement un traitement de défaveur, mais au contraire un traitement de faveur dans la capacité de financement » a insisté Guillaume Faury. Sous la pression d'éventuelles sanctions américaines et des ONG, les banques appliquent désormais des règles de conformité (compliance) strictes pour les entreprises de défense considérées comme des entreprises à risque pour un financement, de plus en plus difficile à trouver pour certaines ETI, PME et startups de la filière, dont certaines se voient même refuser d'ouvrir un compte bancaire. Un constat que faisait le président du Comité Défense du Conseil des Industries de Défense Françaises (CIDEF) et PDG de MBDA, Eric Béranger, au Paris Air Forum.

    La Tribune du 6 janvier
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    Défaillance majeure sur un F-35 : la flotte sud-coréenne interdite de vol
    Un F-35A de l’Armée de l’Air sud-coréenne a été contraint de réaliser un atterrissage d’urgence sans train d’atterrissage le 4 janvier sur la base de Seosan. D'après le chef d'état-major adjoint de l'armée de l'air Shin Ok-chul, le F-35A volait à basse altitude lorsque le pilote a entendu une série de détonations. Après vérifications, « tous les systèmes de l'avion avaient cessé de fonctionner, à l'exception des commandes de vol et du moteur ». Après avoir hésité à s’éjecter, le pilote décide finalement de tenter de se poser sans les roues. L’incident a été jugé suffisamment sérieux pour que l’ensemble de la flotte des 30 F-35 de Lockheed Martin du pays soit interdite de vol, mais sans qu'une mesure identique ne soit prise chez les autres utilisateurs de l'avion. Même si l’avion devrait pouvoir être réparé, le caractère sensible des équipements et le revêtement furtif du F-35 rendront ces opérations plus difficiles que sur les générations précédentes d'appareils. Il ne s’agit pas du premier cas d’appareil endommagé ou détruit à la suite de défaillances, le Japon a déjà reconnu un certain nombre d’incidents liés à des défauts de fabrication spécifiques à la ligne d’assemblage du F-35 présente dans le pays.

    Air & Cosmos du 6 janvier

Aviation Commerciale
  • Aviation Commerciale
    Les destinations les plus plébiscitées par les Français en 2021
    Comparateurs de vols et agences de voyage ont publié leur bilan 2021 et les tendances de voyage des Français au cours de l’année dernière. Selon Liligo, 2 Français sur 3 ont voyagé l’année dernière et 73% d’entre eux ont privilégié la France comme lieu de destination. Selon Liligo, le Maghreb, Dubaï et les DOM-TOM ont occupé 7 places sur 10 du classement des top destinations 2021 à l’international, hors France et Europe. New-York, dont les recherches ont été multipliées par 10 pour les vacances de Noël par rapport à l’année dernière, entre à la 10ème place du classement annuel, juste derrière Montréal. « Malgré ce regain d’activité pour le secteur du voyage et des tendances globalement positives, 1 voyageur sur 2 déclare que la crise sanitaire a tout de même perturbé ses voyages en 2021 », souligne Liligo. Ajaccio prend la 3ème place du classement global de Kayak et est première au classement des villes nationales avec une hausse de 89%, par rapport à 2019, suivie par Nice et Paris.

    Air Journal du 6 janvier
  • Aviation Commerciale
    Air France-KLM a besoin de plusieurs milliards pour repartir sur de bonnes bases
    Pour Air France-KLM, 2022 sera une année décisive. Après deux années de pertes sans précédent et plus de 14 Md€ d'aides des Etats français et néerlandais, le groupe va devoir procéder à une nouvelle augmentation de capital pour reconstituer ses fonds propres et faire face à ses engagements. Les défis sont majeurs : le groupe aurait besoin de 4 à 6 Md€ pour retrouver une situation financière assainie. Air France-KLM devra lever 1 à 2 Md€ dès cette année afin de reconstituer ses fonds propres et de résorber une dette de 8,55 Md€ d'ici à 2025. Pour lever jusqu'à 6 Md€, Air France-KLM devra donc convaincre des investisseurs privés de long terme de parier sur lui. Ce qui suppose de réunir trois conditions : que le transport aérien ait retrouvé suffisamment de visibilité pour attirer les investisseurs, que le groupe respecte sa prévision d'un retour à un excédent brut d'exploitation « positif » au 4ème trimestre 2021 et « légèrement positif » pour l'ensemble de l'exercice 2021, et enfin de convaincre les investisseurs de la capacité d'Air France-KLM à dégager une marge d'exploitation de 7% à 8% à l'issue de son plan de transformation, en 2025.

    Les Echos du 6 janvier

Formation
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    A Bordeaux, une école pour former les ingénieurs de l’aéronautique et du spatial aux défis environnementaux
    La région Nouvelle-Aquitaine accuse un déficit en matière de formation d’ingénieurs dans les domaines de l’aéronautique, du spatial et de la défense. Pour y remédier, plusieurs projets sont en cours, comme le campus des métiers du transport du futur d’Elisa Aerospace à Saint-Jean d’Illac (Gironde). Ce projet de campus de plus de 25 M€, qui bénéficie d’une aide de 4 M€ de la région, accueillera à partir de la rentrée prochaine plus de 600 étudiants. « Le secteur de l’aéronautique, du spatial et de la défense représente plus de 50 000 emplois industriels en Nouvelle-Aquitaine, a rappelé Yann Guillou, représentant du BAAS (organisme qui fédère les grands établissements du secteur) au conseil d’administration d’Elisa Aerospace. Mais il y a depuis longtemps dans la région un déficit de formation d’ingénieurs dans ces domaines, alors que les perspectives, avec le développement d’Ariane 6, les succès à l’export du Rafale, les projets d’avion vert d’Airbus, confirment des besoins importants en matière d’ingénieurs ». « Toutes ces industries vont devoir se réinventer en profondeur pour faire face au défi climatique, ajoute Alexander Gibb, président du conseil d’administration d’Elisa Aerospace : il faudra réinventer l’avion, les systèmes spatiaux pour surveiller la Terre… Et penser au recyclage des matériaux ». « Au niveau ingénieur, nous formons en cinq ans dans trois domaines très demandés par les industries, précise Chantal de Turckheim, fondatrice et directrice d’Elisa Aerospace : ingénierie des systèmes aéronautiques, ingénierie des missiles et systèmes spatiaux, et ingénierie des systèmes complexes coopératifs ». Le président de la région Nouvelle-Aquitaine Alain Rousset a rappelé les efforts entrepris pour rattraper le retard en matière de formation : doublement du nombre d’ingénieurs formés dans la région depuis 15 ans, et 4 écoles d’ingénieurs en cours de création dans le domaine des transports et de la mobilité de demain. La région s’est aussi dotée d’un think tank autour de l’espace, Way4Space, tandis que Sciences-Po Bordeaux a ouvert une chaire Défense et Aérospatial.

    20 Minutes du 6 janvier

Industrie
  • Industrie
    Quel niveau de production pour les A320 neo après 2023 ? La filière aéronautique tranchera d'ici mi-2022
    Guillaume Faury, président exécutif d'Airbus et président du GIFAS, a fait part de sa confiance pour l’année 2022 et donné sur le cap pour les années à venir. 2022 doit être l'année où la filière se positionne sur ses ambitions à moyen-terme, particulièrement sur la question des cadences de production. Si la trajectoire est désormais fixée jusqu'en 2023, le débat reste ouvert pour la suite. Interrogé sur la question, Guillaume Faury a déclaré : « Pour 2022 et 2023, tout le monde est derrière nous pour la remontée en cadence. Nous n'avons pas vu émerger de réticences, mais des questions sur la montée en cadence au-delà du 'rate 65' et la soutenabilité de taux de production à 70 ou 75 appareils par mois à partir de 2024-2025 ». Le patron d'Airbus a notamment reçu le soutien de Christophe Cador, PDG de Satys et président du Comité Aéro-PME du GIFAS, : « Pour ce qui est des augmentations de cadence, c'est au contraire une bonne nouvelle pour chacun d'entre nous (…) Pendant deux ans, nous (la supply chain aéronautique) nous sommes adaptés (…) et ce, en partie, grâce au maintien des cadences des donneurs d'ordres, avec la définition d'un rythme de production dès avril 2020 ». Si Airbus ambitionne d'atteindre rapidement des niveaux de production inédits dans l'histoire de l'aéronautique qui conduiraient à livrer 900 avions par an pour la seule famille A320 neo, Guillaume Faury a réaffirmé qu'aucune décision n'avait été prise pour le moment au-delà de 2023 : « Nous espérons être au clair vers le milieu de l'année 2022 sur les niveaux de production qui seront visés en 2024-2025 ». Les difficultés de recrutement, les tensions sur les matières premières et la capacité d'investissement des entreprises, particulièrement en amont de la supply chain, restent parmi les défis clés pour la filière, ainsi que l’adaptation aux exigences écologiques et la décarbonation de leur production. Enfin, les sous-traitants doivent poursuivre leur numérisation pour établir une véritable continuité sur l'ensemble de la chaîne de valeur.

    La Tribune du 7 janvier

Plan Aéronautique
  • Plan Aéronautique
    MGB lauréate du prix « Space 2021 »
    MGB et PMD Vallon ont remporté les trophées « Space 2021 » pour leur transformation digitale et l’amélioration de leur performance industrielle. En 2021, MGB a également bénéficié du plan France Relance pour ses deux projets « Diversification » et « DSC 4.0 » dans le cadre du plan de soutien à l'investissement et à la modernisation du secteur aéronautique. Implantée en Haute-Savoie, la Société MGB, créée en 1956, s'est spécialisée dans l’usinage de composants destinés à 70% au secteur aéronautique. Également implantée en Chine et aux États-Unis, la société réalise 10M€ de chiffres d’affaires et emploie 50 personnes en France.

    Air & Cosmos de décembre 2021